jeudi 31 mars 2011

"J'ai failli avoir un orgasme en disant "j'ai fini mon TPE""

 
Je me suis abandonné a ce qu’il a dit
Je pleurais, je souriais, je riais avec lui.
J’ai compris pendant ses textes, dans ses slams et ses poèmes
Que je devais arrêter d’y croire mais avec le sourire
De plus n’espérer de personne un « je t’aime »
Mais avant d’en pleurer essayer alors d’en rire.

Il va falloir que je tourne en dérision,
Tout ces doutes, tous ces moments d’hésitation
Car je sais au fond de moi maintenant
Que rien, non rien, ne s’en va avec le temps.
Et que pour survivre dans ce bas monde
Il faut savoir emmener des secrets dans sa tombe
Et rire aux larmes de ce qui te fait pleurer
Et de garder tes larmes, le soir pour ton oreiller.

Personne n’a besoin de savoir quand tu ne vas pas bien
Car dans ce moment là les gens ne te tienne jamais la main
Et quand on te de demande « comme tu vas ? »
Je t’affirme qu’UNE personne ça intéresse : y’a pas,
C’est devenu une simple formule de politesse,
Comme un bonjour, comme un au revoir, comme une détresse.

vendredi 25 mars 2011

Je t'aime pas. Toi et moi c'est physique : un point par jour dans la gueule que ça suffirait pas.


Comment ça se fait, que y'a des personnes, on les aime pas du tout hein ? Comment ça se fait ? On peut pas les voir en peintures, en photo, en vrai, en couleur, en noir et blanc. 

"Rien ne va plus. Le monde dans lequel je vis et tous les gens autour de moi. Et l'inertie de mon existence qui se dérobe sous mes pas sans que je puisse l'en empêcher. Et vous savez ce que je ressens moi ? J'ai beau être dans une pièce pleine de monde et hurler comme une folle il n'y a personne qui se soucie de moi." Titanic

Facebook, en fait, c'est déprimant. Tu vois les délires des autres, de tes amis, et tu te demandes pourquoi t'en fais pas partis. Puis tu vois des petits cœurs, avec des "en couple" et tu te demandes pourquoi tu n'as pas le droit de mettre ça. Tu vois des statuts disant, j'ai 19/20 je suis majeure, j'ai mon permis... et toi t'as 7, t'as 16 ans et tu marches pour aller en ville.
Est-ce si dur que ça, de se construire la vie dont on rêve ? Est-ce réellement inaccessible ?
J'ai ris hier, comme j'avais pas ris depuis longtemps. Les larmes me sont venues. J'étais avec elles. J'ai retrouvé l'ambiance qu'on avait perdu en début d'année. J'ai eu l'espoir qu'est revenue. Ça m'a fait tellement de biens, pourquoi ces moments sont-ils si rares à trouver ? Pourquoi les gens z'arivent à rire tout le temps et moi jamais. Pourquoi ils ont des amis, ils ont d'la chance, et moi je mange des épinards le midi ?
Je ne demande pas la paix dans le monde, je ne demande pas d'avoir le prix Nobel de la paix, je ne demande pas un retour en arrière, je ne demande pas d'autres proches. J'ai juste 3 petites demandes.

mercredi 23 mars 2011

Nettoyer les vitres, c'est un bon moyen de s'occuper.


Il fait beau, les portes sont grandes ouvertes et la musique dans les oreilles, tu te dis qu'on est entré dans le printemps. Les TPE blancs se sont bien passés, il n'y a rien qui irait mal.
Je savais qu'il ne fallait pas grand chose pour être malheureuse. J'ai compris qu'il ne fauit pas grand chose pour être heureuse non plus.
Un gros paquet de bonbons en se demandant par lequel commencer, un fou rire en classe à en avoir mal au côté, deux compliments au détour d'une conversation, pas de mauvaises notes dans une journée, de la bonne musique dans les oreilles, des bonnes nouvelles pour tes proches, n'importe quoi, je sais pas moi.
Mais j'ai compris aussi qu'il faut profiter de ces moments. 
Car quand on dit que ces moments sont "précieux", c'est parce qu'ils sont rares, très rare. Alors il faut prendre ce qu'il vient, ce qu'il va, faire ce qu'on peut avec ce que l'on a et se donner la fond dans les journées qui le méritent.

mardi 22 mars 2011

So much memories.


C'était marrant quand on s'parlait, c'était l'bon temps. On était assis à côté, on s'taisait puis on s'marrait. C'était drôle aussi de dire des conneries et de voir alors la fatalité sur ton visage comme si je ne savais dire que ça. Enfin t'étais pas mal non plus quand tu parlais. Ça faisait passer l'temps, c'était agréable. Mais tout ce qui est bien est court, et ce depuis toujours. Alors ça a changé. Tu m'as dit que c'était dommage, que tu voulais pas, qu'on devait quand même s'quitter pour en parler au passé. J'espère que c'est vraiment ce que tu as pensé, quand tu as dit que c'était triste, parce que pour moi c'était marrant d'être là à côté de toi et d'parler de tout et de rien. A raconter des conneries pour voir la fatalité sur ton visage comme si je ne savais dire que ça. C'était marrant quand on s'parlait, c'était le bon temps. 

Dès fois, on a juste envie de commencer autre chose


Je ne sais pas l'envie qui me prend d'écrire ce blog. J'en avait un très bien, j'écrivais ce que je voulais et j'embêtais personne, parce que personne ne me lisait. Et dire ces adieux à un blog, c'est pas si facile que ça, parce que dès fois t'es vraiment fière de tes articles ! :D Cependant, dès fois t'as envie de changement, alors tu changes, rien que pour toi même, même si les autres ne s'en aperçoivent pas. Moi ça commencer avec ce blog. 
Je me demande combien sont dans ce même cas, combien de personnes ne sont lus par personne ?