mardi 10 mai 2011

Casse toi les dents sur les betons. Ou non. De toute façon, viendra un moment ou tu ne te releveras plus.

"Te raconter enfin qu'il faut aimer la vie et l'aimer même si, le temps est assassin et emporte avec lui les rires des enfants."

J'ai un dégout de la vie MAGISTRAL. Je l'avais pas il y a trois jours. Ça m'a prit tout à coup, ça m'a pris la gorge comme lorsque ma gorge me serre quand je pleure. Ce dégout je le rejette, j'essaye de le jeter à la poubelle mais force est de constater qu'il reste. Je ne comprend pas comment autant de désillusions peuvent venir en un jour, deux jours, trois jours max. Tes rêves se transforment en désespoirs. Tu te noies dans tes rêves inavouables comme lorsque tu marches avec des chaussures trop grand mais que tu aimes : Ça te gène, ça t'empêche de marcher normalement mais c'est trop beau.
Je sais pu ce que j'écris. Je m'éloigne, je m'éloigne de tout le monde. Je me sens exclue, oh oui tellement. Je ne suis plus avec elles, je ne suis plus avec personne et je ne deviendrai jamais quelqu'un.